Ensuite, tout le monde a été regroupé en binôme où chaque personne devait choisir un portrait photographique exposé sur le mur. Et expliquer à son binôme pourquoi l’avoir choisi ou les raisons pour lesquelles il l’a autant marqué. Ceci est poursuivi par un échange tous ensemble avec le groupe, pour partager et exprimer nos pensées de ces individus photographiés en tant que présumés criminels.
Ce qui nous a mené à des commentaires très intéressants et marquants comme « la pomme d’Adam de ce jeune homme est accentuée, ce qui évoque que ces mots sont presque coincés dans sa gorge, des choses qu’il est incapable d’exprimer. » La jeunesse Fougue de certains individus évoquait une naïveté qui était particulièrement frappante pour les participants. D’autres ont particulièrement remarqué un manque de présence dans le regard des sujets.
L’activité s’est écoulée dans une séance d’autoportraits au feutre/crayon qui ont après été découpés afin qu’il n’en reste que les traits du visage dominants. Afin d’en faire un collage à la Picasso sur une feuille colorée, ce qui a mené à des résultats inattendus, comme on peut voir :
Et pour finir sur une bonne note, les participants ont été mis en groupes où chaque personne devait trouver un mot par lequel se définir et ensuite le transcrire à travers un geste. Le groupe rassemblait les gestes de tous afin de créer une chorégraphie à présenter devant les autres. Ceci nous a bien fait rire et sourire de voir la créativité et l’imagination de chacun, de manière amusante et que l’on ne pense pas souvent à faire.
On remercie encore une fois Mary-Jane et Nita pour nous avoir sortis de notre zone de confort et régalés avec l’inventivité de chaque aspect de cet atelier. Il nous a tous laissé rentrer chez nous, le sourire qui nous éclairait le visage et vraiment fait notre journée.