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par Phoebe Wilson 7 janvier 2025
L’exposition Festival of Collage à la galerie Canopy met en lumière les possibilités infinies que ce médium artistique a à offrir. L’artiste Petra Zehner, également fondatrice du Paris Collage Collective à l’origine de cette exposition, nous confie : « J’ai toujours aimé l’idée de travailler avec d’autres artistes. À l’époque, ayant récemment déménagé en France, je ne parlais pas français. Ce qui m’a amenée à créer un groupe dont je pouvais faire partie. Je voulais entrer en contact avec de nombreux autres artistes et j’ai découvert qu’avec une communauté, il était plus facile de se connecter avec les gens. Cette expérience est également la raison pour laquelle le slogan du Paris Collage Collective, inclusif et non exclusif, transmet exactement ce que nous essayons de créer : un espace sûr et ouvert à la créativité. » Le collectif rassemble des artistes de près et de loin notamment grâce à son fort engagement sur les réseaux sociaux accessibles au public du monde entier. Leur site web propose des défis de collage hebdomadaires pour inciter chacun à participer. Cela permet au public de devenir plus curieux de voir la variété des interprétations qui ont été prises à partir du point de départ donné. ~~~ The Festival of Collage exhibition at the Canopy gallery brings to light the infinite possibilities this artistic medium has to offer. The artist Petra Zehner also founder of the Paris Collage Collective behind this exhibition tells us “I always liked the idea of working with other artists. At the time having recently moved to France I didn’t speak French. Which led me to create a group that I could be part of. I wanted to reach out to many other artists, and found that with a community it was easier to connect with people. This experience is also why the Paris Collage Collective’s slogan inclusive and not exclusive summarises what we’re trying to create : a safe and openminded space for creativity.” The collective brings together artists from near and far notably through their strong engagement in social media that is accessible for a worldwide public to discover. Their website offer weekly collage challenges to incite anymore and everyone to participate. This creates anticipation for the public in seeing the variety of interpretations to the given starting point.
par Phoebe Wilson 20 novembre 2024
L’activité de Slow Looking dirigée par Mary-Jane et Nita explore la connaissance de soi et la perception d’autrui. Elle est en lien avec notre exposition photographique "WHO’S NEXT" de l’artiste Charlotte Haslund-Christensen qui orne nos murs. Elle a commencé avec une petite introduction méditative, afin de nous apaiser en contrôlant notre respiration et pour être conscient de notre corps.
par Phoebe Wilson 14 novembre 2024
The Canopy gallery opens its doors to the Danish native artist Charlotte Haslund-Christensen with an exhibition dedicated to her 2009 work titled “WHO’S NEXT?” The open-ended question raises the issue of the stigmatisation and criminalisation of LGBTQ people internationally through the medium of photography. The exhibition is comprised of 40 portrait photographs of LGBTQ people lined up on the walls of the gallery space. Charlotte Haslund-Christensen had undertaken the approach of making them resemble mugshots. This conveys the image of these people being the criminals they would be considered to be in the 76 countries where same sex relationships are illegal.

par Evelyne Lacoux 14 novembre 2024
L’expo photo « Who’s next ? » , annoncée à la Galerie Canopy, ne m’inspire pas à priori. J’y vois des personnes prises à la manière anthropomorphique des commissariats de Police, méthode inventée par le français Bertillon à la fin du 19 ème siècle. De quoi sont-elles coupables ? Qu’a voulu dire la photographe Danoise Charlotte Haslund-Christensen ?

par Patrick Mallet 15 mai 2024
Qu’est-ce qu’un homme ? C’est à cette question que nous invite à réfléchir la pièce Zoo ou l’assassin philanthrope, adaptation théâtrale de son roman les Animaux dénaturés, écrite en 1963 par Vercors et présentée au Théâtre de la Ville dans une version revue par Emmanuel Demarcy-Mota et Dorcy Rugamba. La question pourrait paraître simple, l’homme est un être appartenant à l’espèce des hominidés. Et s’il persistait encore une autre branche des hominidés moins évoluée que la nôtre (les homo sapiens) ? Ses membres seraient-ils hommes tout comme nous ? Ou serait-ce des animaux ? Où se situe la frontière homme, animal ? La conscience , les sentiments, les émotions, ont longtemps été considérés comme le propre de l’homme mais les travaux plus récents ont montré que ce sont aussi l’apanage des animaux. Alors ? Alors, lors d’une expédition en Nouvelle-Guinée, des paléoanthropologues rencontrent des êtres primitifs, qui semblent être une autre espèce d’hominidé qui aurait survécu. Sont-ce des primates ou des hommes ? Pour y voir clair, un membre de l’expédition décide d’être le géniteur par insémination artificielle de l’enfant d’une « femelle » de ces êtres, de tuer le nouveau-né et de se dénoncer à la police. Son procès, auquel nous assistons, devra permettre de trancher la question. Le spectacle, non dépourvu d’humour, remarquablement mis en scène et interprété , très esthétique de par l’usage de masques d’une grande beauté figurant des animaux et du travail de lumière, bouscule nos repères et nos idées reçues en la matière. Nous en sortant à la fois ravis du bon moment passé et en proie à un questionnement multiple. Patrick Mallet
par Janine Brimbal 26 avril 2024
par Nita Chaudhuri Ganguin et Mary Jane Oliveri 19 avril 2024
Retour sur l'atelier "Identité croisement avec l'art"
par Christine Monnatte 19 avril 2024
D’abord, la pièce de théâtre, ensuite l’exposition ! Un grand bonheur offert par Canopy pour partir à la découverte d’un artiste que nous pensons connaître et qui, comme tout artiste, a vite fait de nous révéler ses multiples méandres dès qu’on si attarde un peu. Jouée au théâtre Odéon-Berthier, la pièce ROHTKO est un chef d’œuvre de culture européenne : écrite par une Lettone, elle a été mise en scène par un Polonais, avant d’être jouée sur les scènes d’Europe afin de nous raconter les dernières années d’un artiste qui, arrivé de Lettonie à l’âge de 10 ans, en 1913, prit la nationalité américaine en 1938 et transforma son identité 2 ans plus tard ; en effet Markus Rotkowics devint alors Mark Rothko, le grand peintre dont nous connaissons tous les somptueux Orange et Rouge… mais moins l’œuvre des débuts. C’est en effet à la Fondation Louis-Vuitton que l’on a pu découvrir l’ensemble de l’œuvre d’un artiste très actif tout au long de sa carrière, créateur notamment de l’Artist Union à New York, en 1934. Personnage imprévisible, il eut besoin de faire un long voyage en Europe avant de trouver sa place dans la peinture et de participer toute sa vie au développement des idées liées à cet art. L’exposition du Bois de Boulogne fait découvrir l’ensemble de son œuvre à travers des tableaux particulièrement représentatifs de son évolution vers la couleur (au sens large) en aplats. Des aplats aux bords indécis qui illustrent parfaitement sa recherche de tons et donnent à son œuvre une dimension spirituelle indéniable.
par Ghislaine Molodstof 6 février 2024
Aperçu des collections africaines du Musée du Quai Branly
par Mary Jane Oliveri 22 janvier 2024
L'atelier Fresque du Climat 15 janvier 2024 Je ne savais pas à quoi m’attendre de cet atelier, sauf que nous allions créer une sorte de fresque collaborative sur le climat et en apprendre davantage sur les problèmes comme le réchauffement climatique. Au moins 18 personnes présentes ont participé avec enthousiasme à l’évolution d’une vue globale des activités humaines et de leur impact sur le climat. Deux groupes ont été formés, et chaque groupe a travaillé ensemble pour mettre en place une série progressive de cartes afin de nous renseigner sur les impacts de l’activité humaine sur le climat. Chaque carte contenait des explications claires du problème. Le processus a été très instructif et a confirmé les connaissances que j’avais sur les problèmes climatiques.  La deuxième partie de l’atelier a été une présentation détaillée de l’empreinte carbone, de l’utilisation humaine des différentes ressources. Un peu trop détaillé pour moi ! Nous avons terminé l’atelier par une activité où chaque personne a écrit sur un post-it les étapes qu’elle prendrait pour réduire son empreinte carbone dans sa vie. C’était une fin encourageante après avoir pris conscience de l’impact mondial grave et qui donnait à réfléchir. - Mary Jane Oliveri
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